Des Femmes qui n’assument pas de ne pas correspondre aux stéréotypes.

La place des femmes dans les Médias n’a cessée d’évoluer de la représentation de la femme ménagère dans les années 1950 à une représentation de la femme objet et sans oublier le mannequin publicitaire et les célébrités qui deviennent des objets de consommation et d’exploitation commerciale.

 

Nous pouvons dire que les Média engendrent un phénomène de mode autour de la ressemblance entre les femmes médiatisés et les populations en passant par les stars, ou bien les femmes qui aiment un atout d’une femme d’origine différente qui représente selon elle la perfection. C’est ce que nous allons voir dans l’étude des femmes qui n’assument pas de ne pas correspondre aux stéréotypes.

 

Beaucoup de femmes font appel à la chirurgie esthétique à cause de l’influence médiatique, la pratique de la chirurgie n’est plus un besoin mais un phénomène de mode que tout le monde veut suivre tout simplement pour correspondre aux normes sociales basés sur les courbes des stars, les lois des normes ou les représentations sociales. En effet nous verrons que les représentations sociales évoluent en fonction des préoccupations d’un groupe humain, elles agissent en effet dans la vie sociales et sont fondés sur les attitudes, les opinions, les croyances ainsi que les valeurs idéologiques.

 

 Une principale cause du recours à la chirurgie esthétique est le besoin de reconnaissance et d’appartenance et de correspondre aux normes prédéfinis de la société

 

La théorie de Maslow peut expliquer ce fait:

 

                                       

 

 

Le besoin de se réaliser, les besoins d’estime de soi, les besoins d’estime de la part des autres et le besoin d’appartenance relèvent tous du fait de nôtre image physique que nous dégageons. 

Mais des cas particuliers se détachent de ce besoin sans cesse de reconnaissance et d’atteindre la perfection physique pour égaler à une déesse ou plaire à tout le monde. Suite à des évènements ponctuels et tragiques pour certains la chirurgie permet à certaines femmes de reprendre le cours de leurs vies, ce n’est pas de leurs propres volontés car sans ces évènements elles n’auraient peut être pratiquées de la chirurgie, résoudre ces soucis rentre dans une autre forme de bien-être social[1]. 

 Nous traiterons alors notre étude à la fois sur les femmes  qui ont recours à la chirurgie car elles n’ont pas une estime corporelle d’elle suffisamment positif et en deuxième cas les femmes victimes d’accident, les femmes qui ont eu  des tumeurs ou bien alors des malformations. 

 

 

 Une image de la femme modèle véhiculé par les média.

 

 

Depuis les années 1975 jusqu'à nos jours, la femme modèle est si l'on peut dire synonyme de chirurgie esthétique. «Cette femme modèle » est principalement véhiculée par les média. L’image corporelle dans notre société est importante, elle est particulièrement amplifiée et véhiculée par les médias. Parmi les nombreuses méthodes utilisées par les médias pour transformer l’image de sorte qu’elle soit idéale, la méthode la plus ancienne reste les différents critères de sélection des mannequins.

 La cible était principalement les femmes, les femmes au physique parfait. Actuellement elles envahissent les journaux féminins. Certains magazines de santé se font même une spécialité dans la diffusion de ces publicités de ces femmes au corps parfait. Elles jouent un rôle extrêmement importants notamment chez les femmes qui ont un certain manque de confiance en elles ou encore qui n'assument pas leurs corps donc en voyant ces femmes au corps parfait cela les incitent à avoir recours à la chirurgie esthétique.

La photo retouchée est cependant la méthode la plus utilisée. En effet, sur les panneaux de publicité ou dans la presse, les photos retouchées sont présentes partout, imposées par une société qui fait de l’image corporelle une référence ultime.

 Les moyens utilisés par les média pour véhiculer l'image d'un corps parfait entraînent des conséquences dangereuses. De plus en plus, les jeunes réagissent en se comparant aux modèles présents dans les publicités ce qui joue sur leur estime de soi. L'image corporelle est la perception qu'une personne a de son apparence physique. Ainsi une personne peut avoir une estime de soi négative en ne se trouvant pas attrayante, en n'acceptant pas son corps, tandis qu'une autre personne peut avoir une estime de soi positive, en s'acceptant dans son corps. L'image corporelle n'est pas seulement liée à l'opinion que les autres peuvent avoir de nous. Une personne ayant une image corporelle négative peut être considérée comme jolie alors qu'une personne ayant une image corporelle positive peut être considérée comme non attrayante par les autres.

En effet la pression imposée par les médias autour du poids et de l'apparence physique est devenue un véritable phénomène de ces années 2000.A l'image de la chirurgie esthétique et de la préoccupation du Moi, la minceur est devenue le critère incontournable de la beauté et se vente partout. La plupart du temps, l'image de la beauté que donnent les magazines féminins est celle de la minceur et de la jeunesse. De même, le cinéma et la télévision sont des «promoteurs d'une beauté inaccessible». L'image de la femme y est toujours présente, que ce soit dans la publicité, les séries ou les films.

 

 

 

 Les représentations culturelles sont intimement liés au recours à la chirurgie esthétique car elles dépendent des critères de beauté de nôtre pays.

La beauté à différents critères, notamment culturelles.

Étude de cas

Les femmes girafes

Les transformations physiques chez les femmes notamment chez les femmes girafes « la tribune aux longs cou »  Le pays des femmes girafes, ou Padaungs est la Birmanie.
 Aujourd’hui, une partie de cette tribu montagnarde du groupe des Karen s’est installée au village Mae Hong Son, en Thaïlande.

 

  

 

 

 

En Birmanie, dans certains villages, pour qu'une femme réponde aux critères de beauté, elle doit avoir un long cou. Alors elles s'étirent le cou avec des anneaux en laiton. Plus leur cou est long, plus elles sont considérées belles.

 

Ces femmes peuvent étirer leur cou jusqu'à ce qu'il atteigne 32 cm, c'est pourquoi elles sont appelées les femmes girafes. L'origine des femmes girafes repose sur le fait qu'avant, les anneaux que les femmes portent étaient faits en or et ils constituaient leur dote pour leur futur mariage.

 Donc, la femme qui avait le plus d'anneaux avait le plus de facilité à se trouver un mari. Cette tradition provient aussi d'une légende qui raconte que des tigres venaient tuer toutes les femmes Birmanes en les mordants à la gorge.

 

  

Les femmes à plateaux

L'Ethiopie regorge de tribus de toutes sortes qui possèdent chacune des traits culturels particuliers. Pour les femmes, une des pratiques culturelles de ce pays est de se percer les lèvres inférieures et supérieures

 De la bouche pour pouvoir y introduire un morceau de bois. Elles laissent le trou s'agrandir jusqu'à ce que leurs lèvres deviennent de minces lanières. Ensuite, elles étirent leurs lèvres et installent à l'intérieur de celles-ci des plateaux de bois.

 

 

 

Les femmes à plateaux sont considérées comme étant de très belles femmes et celle qui a les plus longs plateaux est considérée comme étant la plus belle de toutes.

 

 

Les femmes Chinoises aux petits pieds

 

Un jour, un empereur chinois eut le caprice de voir danser une de ses concubines sur une fleur de lotus. Comme nous savons tous qu'il est impossible physiquement de danser sur une fleur, aussi grosse soit-elle, il eut le fantasme démesuré de transformer les pieds de sa femme.

Pour ce faire, il banda graduellement les pieds, de plus en plus serré, pour réaliser son fantasme.

C’est ainsi qu’en Chine, pendant plusieurs siècles, les femmes ont dû se bander les pieds pour empêcher leur croissance.

 

  

 Plus une femme avaitde petits pieds, plus elle était considérée belle et plus elle avait de la facilité à se trouver un mari. La finesse de leur déplacement était également recherchée, car grâce à leurs petits pieds on disait qu'elles avaient une démarche d'hirondelle.